- EAN13
- 9782226388728
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 03/02/2016
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 24,00
Auteur d'une oeuvre considérable, dont le fameux Pain noir, Georges-Emmanuel
Clancier se penche dans Le temps d'apprendre à vivre sur sa vie de jeune
homme. Quatrième tome de ses livres autobiographiques, après L'Enfant double,
L'Ecolier des rêves et Un jeune homme au secret, celui-ci couvre la période
1935-1947.
Avec la guerre pour toile de fond, dont il nous donne d'ailleurs une vision
très personnelle, nous le suivons en compagnie de sa bande d'amis et de sa
future femme, au gré de leurs rencontres, de leurs espoirs, de leur intense
force de vie. Joe Bousquet, Louis Aragon, Raymond Queneau, Michel Leiris,
Claude Roy, Pierre Seghers, Pierre Emmanuel, Max-Pol Fouchet, et tant d'autres
encore, membres ou non de la revue résistante Fontaine, sont autant d'acteurs
d'une génération dont il écrit qu'elle lui apparaissait soumise à deux forces
contraires. Celle de « l'enthousiasme d'une jeunesse qui attestait que la
poésie, comme le voulait Rimbaud, vînt changer la vie » ; celle de la « chute
de l'Europe dans la criminalité mortelle, représentée par les nations
totalitaires : l'Allemagne d'Hitler, l'Italie de Mussolini, l'Espagne de
Franco. »
Clancier se penche dans Le temps d'apprendre à vivre sur sa vie de jeune
homme. Quatrième tome de ses livres autobiographiques, après L'Enfant double,
L'Ecolier des rêves et Un jeune homme au secret, celui-ci couvre la période
1935-1947.
Avec la guerre pour toile de fond, dont il nous donne d'ailleurs une vision
très personnelle, nous le suivons en compagnie de sa bande d'amis et de sa
future femme, au gré de leurs rencontres, de leurs espoirs, de leur intense
force de vie. Joe Bousquet, Louis Aragon, Raymond Queneau, Michel Leiris,
Claude Roy, Pierre Seghers, Pierre Emmanuel, Max-Pol Fouchet, et tant d'autres
encore, membres ou non de la revue résistante Fontaine, sont autant d'acteurs
d'une génération dont il écrit qu'elle lui apparaissait soumise à deux forces
contraires. Celle de « l'enthousiasme d'une jeunesse qui attestait que la
poésie, comme le voulait Rimbaud, vînt changer la vie » ; celle de la « chute
de l'Europe dans la criminalité mortelle, représentée par les nations
totalitaires : l'Allemagne d'Hitler, l'Italie de Mussolini, l'Espagne de
Franco. »
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